Hervé Rubeaud, 3 ans dans une école d’art «Sornas», tout près du Louvre, depuis comme graphiste dans le milieu publicitaire. Après de longues années sans toucher un pinceau ou un crayon, il s’est remis à la peinture, il y a 8 ans. Deux ans plus tard, il exposait à Montreux en Suisse, pour les 50 ans du Festival de Jazz.
«De part mon travail, essentiellement basé sur le portrait, ma démarche artistique est de montrer l’expression qui transcende le musicien, lorsqu’il donne ce qu’il a de plus profond en lui, lorsqu’il chante ou joue d’un instrument. Même sans chanter, tout en posant, on peut dire qu’ils ont une «gueule», qui retrace toute leur histoire. Je ne peux m’empêcher de penser aux origines du jazz et du blues qui sont la carte mémoire de ces artistes».
Tout public, entrée libre
Du 6 et jusqu’au 30 janvier,
Hall du Triskell.
